Liste des figures

Tome I

Figure 1 : Principales caractéristiques de l’oreille externe (pinna).

Figure 2 : Exemples de dispositifs de protection auditive personnels généralement utilisés dans l’industrie et dans l’armée.

Figure 3 : Bouchons d’oreille moulés sur mesure obtenus à partir de deux méthodes différentes pour le même : empreinte auriculaire (à gauche), bouchon auriculaire correspondant obtenu en laboratoire (au centre) et personnalisé formé in-situ (à droite). Notez que le in-situ, dans cet exemple, présente un plus faible remplissage de la ainsi qu’une impression de moins profonde.

Figure 4 : Exemples de quatre embouts auriculaires personnalisés pour le même droit, fabriqués par quatre professionnels différents expérimentés dans la prise d’empreintes auriculaires. Les flèches indiquent les parties qui scellent le . Les deux empreintes à droite atteignent le deuxième coude de la région auriculaire, mais seule la plus à droite offre un remplissage suffisant pour bien sceller le .

Figure 5 : Effet du volume de la sur l’atténuation fournie par les cache-oreilles avec coussins remplis de mousse, avec des dispositifs groupés en fonction de la taille de la cupule en centimètres cubes (petit ~ 120 cm3, moyen ~ 200 cm3, grand ~ 290 cm3).

Figure 6 : Comparaison d’un serre-tête anti-bruit neuf et non distordu (à gauche) et d’un avec le serre-tête usé, étiré et déformé (à droite), les deux étant ajustés pour la même extension. Remarquez l’écart plus large en bas à droite.

Figure 7 : (A) Voies sonores à travers un , (B) voies sonores à travers un casque antibruit, (C) schéma synoptique des quatre voies sonores de l’oreille occluse.

Figure 8 : Limites de la conduction osseuse (BC) imposée à l’atténuation d’un avec tête non couverte et avec tête et visage couverts, ainsi qu’un exemple de l’atténuation fournie par un , un casque antibruit et les deux combinés ensemble.

Figure 9 : Variation de l’effet d’occlusion en fonction de l’ajustement et le type de protection auditive. L’effet est minimisé par le port de bouchons d’oreille profondément insérés (côté gauche du graphique), il augmente à mesure que le est retiré du . Son amplitude atteint un maximum lorsque le est recouvert par un dispositif semi-inséré ou lorsque le pavillon de l’oreille est couvert par un dispositif supra-aural, tel qu’un écouteur d’audiométrie (partie centrale du graphique). Finalement, l’effet diminue lorsque l’oreille est entourée d’un casque antibruit et continue à décliner à mesure que le volume de la augmente (côté droit du graphique).

Figure 10 : Le « pinna pull », une méthode pour tirer le pavillon vers l’extérieur et vers le haut tout en insérant un .

Figure 11 : L’effet minimal sur la lumière (ouverture) du canal dû à la pression du pavillon contre le crâne (à gauche) par rapport à l’agrandissement obtenu en tirant vers l’extérieur et vers le haut (à droite) lors de la technique de traction du pavillon.

Figure 12 : Illustration d’un ajustement correct (à gauche) et incorrect d’un bouchon en mousse (à droite).

Figure 13 : Comment « lire » un en mousse après son retrait d’un conduit auriculaire dans lequel on l’a laissé s’expandre pendant environ une minute. Principalement utile pour les conduits auditifs moyens et petits. L’exemple montre une bonne insertion dans laquelle environ la moitié de la fiche est comprimée dans la forme du sans plis ni froissements évidents.

Figure 14 : Exemples de différentes insertions d’un à trois brides à trois dimensions: (à gauche) correctement inséré avec la bride d’étanchéité la plus à l’extérieur du canal, (à droite) pas suffisamment insérée et / ou surdimensionnée.

Figure 15 : Exemples d’ajustement d’un à trois brides de même taille pour des dimensions de petit (à gauche, troisième bride à peine pénètre dans le canal), moyen (au centre, troisième canal à joints de bride) et très large (à droite, arrière du troisième la bride affleure à l’entrée du canal).

Figure 16 : Effets des lunettes de protection avec des branches fines et d’épaisseur standard sur l’atténuation d’un à volume moyen avec des coussins en mousse, montrant une perte d’atténuation globale de respectivement 2 et 9 dB.

Figure 17 : Effets de la cagoule Tyvek® sur l’atténuation d’une paire de cache-oreilles à volume moyen avec des coussins en mousse, montrant une perte d’atténuation globale de 6 dB.

Figure 18 : Mesure sur un (psychophysique) mesure utilisant un standard) dans un champ acoustique en laboratoire: (a) mesure du seuil auditif à oreille ouverte; b) Mesure du seuil auditif de l’oreille protégée.

Figure 19 : Field-MIRE sur un personnalisé (mesure physique à l’aide d’un standard): mesure des niveaux de pression acoustique à l’extérieur et sous le en présence d’un son de haut-parleur source ou bien une source sonore pour casque (non représentée ici).

Figure 20 : Field-MIRE sur un (mesure physique en utilisant de substitution): mesure des niveaux de pression acoustique à l’extérieur et sous le de substitution, ici un (mais certains systèmes prennent également en charge le test d’un casque antibruit), en présence du son généré par un haut-parleur.

Figure 21 : sur un sous un casque d’écoute (mesure psychophysique à l’aide d’un standard): (a) Mesure de seuil auditif oreille ouverte; b) Mesure de seuil de l’oreille protégée.

Figure 22 : Balance de sonie sur un (mesure psychophysique à l’aide d’un standard): égalisation subjective du volume entre les deux oreilles sous un casque d’écoute, lors d’une séquence de tests avec d’abord les oreilles ouvertes, puis un dans l’une des oreilles, et enfin les deux bouchons d’oreille dans les deux oreilles.

Figure 23 : Résultats de base du binaural PAR pour le initial pour un groupe de travailleurs de l’industrie (n = 327) avec un objectif d’exposition à la protection inférieur à 85 dBA (Smith et al., 2014).

Figure 24 : PAR50 de base par rapport au PAR50 post-intervention (n = 91) pour les travailleurs identifiés comme ne répondant pas aux critères de test initiaux en fonction du PAR minimal, de la disparité binaurale dans les PAR et de l’absence de basse fréquence atténuation (Smith et al., 2014)

Figure 25 : Résultats du RAP initial et final pour les inspecteurs de plates-formes pétrolières en mer (n = 75 pour l’enquête de 2012) et n = 86 pour l’enquête de 2013 auprès de 35 travailleurs testés au cours des deux enquêtes.) Les symboles pleins indiquent le PAR initial du basé sur des mesures d’atténuation à 500, 1000 et 2000 Hz. Les symboles ouverts indiquent les valeurs PAR finales que les travailleurs ont obtenues après un nouveau test ou une formation. En 2013, quatre travailleurs (a, b, c et d) ont été soumis à des tests d’ajustement avec différents protecteurs afin de déterminer si ces dispositifs pourraient être appropriés, mais ils n’ont pas atteint le PAR de 25 dB (Murphy et al., 2016, reproduit avec permission des auteurs).

Figure 26 : Nombre de modèles de bouchons d’oreille testés avant d’atteindre un exposition protégée inférieure à 75 dB pour un groupe de travailleurs des mines. « Échec ”indique qu’aucun des 8 choix de bouchons d’oreille n’ont pas réussi à procurer un niveau inférieur à 75 dB (5,6% des employés testés). Avec l’aimable autorisation de Hey (2015).

Figure 27 : Visite initiale, PAR50 après l’intervention vs PAR50 de suivi six mois plus tard (n = 70) pour un sous-ensemble de l’ensemble des travailleurs dont les données apparaissent à la Figure 7. Vingt et un travailleurs n’étaient pas disponibles pour des tests lors de la visite de suivi (Smith et al., 2014).

Figure 28 : Atténuation représentative pour les conventionnels bien ajustés: bouchons d’oreille en mousse enroulables, bouchons d’oreille moulés sur mesure, demi-inserts, bouchons d’oreille prémoulés à trois brides, casque antibruit de volume moyen et casque de vol militaire avec écran facial. Un ajustement inadéquat peut dégrader sensiblement les valeurs (voir texte). Toutes les données du laboratoire 3M™ E-A-RCAL.

Figure 29 : Atténuation représentative pour deux casques différents et « » non conventionnels: longs cheveux humains couvrant les oreilles, boules de coton étroitement comprimées, paumes humaines et doigts humains. Toutes les données du laboratoire 3M™ E-A-RCAL sauf pour les casques de tir (Price et Whitaker, 1986) et les doigts (Holland, 1967).

Figure 30 : Atténuation étiquetée ou réelle pour cinq types des s. Les valeurs étiquetées sont basées sur les s déclarés pour les produits en Amérique du Nord et les données réelles (RW) sont basées sur Berger et al. (1996) avec les anciennes données supprimées et les nouvelles valeurs ajoutées comme citées dans le texte. Les barres de colonne 84 incluent une flèche verticale de ± 1- qui représente la variabilité pondérée entre les sujets dans chacune des études constituant la barre afin de fournir une indication de la gamme de variabilité des sujets dans chaque étude. Les sommets des flèches indiquent les valeurs d’atténuation du monde réel moyen approximatives (c’est-à-dire 84 + 1 = 50) pour chacun des types de énumérés.

Figure 31 : Distribution des PARs pour les bouchons d’oreille en mousse cylindrique en (N = 196) et les bouchons d’oreille en mousse de polyuréthane en forme de balle (N = 155) pour les utilisateurs de 7 installations industrielles différentes. Le taux réel de atteint par 98% des employés (calculé à partir des PARs) est de 18 dB pour le en contre une valeur étiquetée de 29 dB et de 10 dB pour le en contre la valeur étiquetée de 33 dB.

Figure 32 : Corrections de l’atténuation nominale de 10, 20 et 30 dB, en fonction du temps pendant lequel un n’est pas usé, sur la base d’un taux de change de 3 et 5 dB.

Figure 33 : La réduction des niveaux de bruit et de parole (lignes pleines en haut) par un représentatif et la relation entre ces niveaux atténués (lignes en pointillés) et les niveaux de seuil auditif convertis en dB niveau de pression acoustique (trois lignes pleines en gras) chez un auditeur normal âgé de 20 ans, un homme âgé de 45 ans (fractile de 0,7) et le même homme avec une perte auditive induite par le bruit () (fractile de 0,7). Lorsque les niveaux de bruit et de parole atténués (lignes en pointillés) passent sous la ou les courbes de , ces composantes fréquentielles du signal ne seront plus audibles par l’auditeur.

Figure 34 : Comparaison de l’atténuation d’oreille réelle de deux bouchons d’oreille à atténuation uniforme et modérée [Etymotic ER-15 moulé sur mesure et ER-20 prémoulé (également appelé bouchons d’oreille 3M ™ EAR ™ UltraTech 12 ™)], de en mousse, d’un à volume moyen classique ainsi que d’un conçu pour offrir une atténuation plus uniforme (Casque Howard Leight Clarity® C2). Les courbes pour les bouchons d’oreille prémoulés et en mousse illustrent le plateau d’atténuation compris entre 125 et 2 000 Hz, qui est représentatif des bouchons d’oreille classiques lorsque bien ajustés.

Figure 35 : Schéma de principe d’un système « feedback » typique intégré à un circumaural.

Figure 36 : Atténuation d’un conçu pour un usage industriel, décomposée en son atténuation active, passive et totale, comparée à celle d’un passif à grandes s et performance maximale, comparée à celle d’un bouchon d’oreille en mousse bien inséré et combiné à un .

Figure 37 : Atténuation des différents types d’écouteurs récréatifs: écouteur placé dans la conche et acoustiquement transparent, petit de type grand public en modes allumé (ON) et éteint (OFF), écouteurs récréatifs conventionnels et écouteurs insérés avec embouts anti-bruit en mousse.

Licence

Symbole de Licence Creative Commons Attribution - Pas d’utilisation commerciale - Pas de modification 4.0 International

Paupières d'oreilles - Tome I - Protection auditive et technologies otiques Copyright © 2023 by Jérémie Voix et Elliott H. Berger pour l'ensemble des chapitres du Tome I ainsi que Pegeen Smith pour le chapitre "Les tests d'ajustement des protecteurs auditifs" is licensed under a Licence Creative Commons Attribution - Pas d’utilisation commerciale - Pas de modification 4.0 International, except where otherwise noted.

Partagez ce livre