Avant l’activité:
Pendant l’activité
- La personne enseignante propose le contexte du jeu : « combien d’entre vous ont déjà cousu ou brodé ? aujourd’hui, nous allons expérimenter une technique accessible à tout le monde… »
- Variante 1: à l’écoute du territoire :
nous allons tenter de broder afin de se représenter le territoire de notre enfance, un endroit, un paysage, un moment, un être (humain, animal, végétal) avec qui vous vous sentiez bien.
- Variante 2: autoportrait écologique (identités et appartenance)
- Variante 3: réflexion sur vos parcours d’apprenant.e.s
- Les personnes étudiantes choisissent les éléments de départ (cercle, laine, aiguille, éléments naturels).
- Elles sont invitées à disposer les éléments végétaux sur le tissu et à commencer à les fixer en les cousant.
- Idéalement : un petit nœud au bout du fil double, et commencer par-dessous. C’est tout !
- Il arrive fréquemment que les personnes étudiantes fassent un point de trop dans lequel le cerceau devient prisonnier. Simplement couper le fil et refaire le nœud. C’est normal de faire des erreurs quand on essaie quelque chose de nouveau…
- L’activité peut être réalisée en silence ou en conversant. Selon le nombre de participants et le contexte, elle peut tendre vers l’introspection ou l’extraversion.
- Après la période consacrée à la broderie, il peut y avoir :
- Un moment de rédaction (poèmes, mots-clés, formulation d’une question critique ayant émergé pendant l’activité, d’un titre pour l’œuvre)
- Un moment de contemplation (disposer toutes les créations au centre de la classe (soit sur une couverture sur le sol ou accrochées)
- Un moment d’échange (présenter sa création aux autres)
À la fin de l’activité:
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Les récits qui émergent de l’expérience peuvent être utilisés par les apprenants pour initier un processus autoethnographique ou duoethnographique (Norris, 2012) et tisser des points communs (métissage) entre les récits de vie des personnes présentes (Donald, 2012).
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